L’industrie pétrolière algérienne maintient son élan expansionniste avec des chiffres prometteurs pour les derniers mois de l’année 2025. Les dernières statistiques disponibles révèlent une production quotidienne atteignant 960 000 barils, confirmant une tendance haussière soutenue depuis plusieurs cycles mensuels.
Cette progression constante place la nation nord-africaine sur la voie de retrouver ses meilleures performances historiques, enregistrées il y a près de deux ans. L’évolution actuelle s’inscrit dans un mouvement plus large de réajustement des volumes extraits, répondant à des accords internationaux visant à équilibrer l’offre mondiale.
Les projections pour les prochaines périodes anticipent une poursuite de cette croissance modérée, avec des estimations tablant sur 964 000 barils puis 968 000 barils quotidiennement. Cette trajectoire ascendante reflète l’application rigoureuse des engagements pris dans le cadre des concertations internationales sur les hydrocarbures.
La stratégie globale adoptée par les principaux acteurs pétroliers mondiaux prévoit le maintien d’un plafond de production réduit jusqu’à la fin 2026, une approche destinée à amortir les fluctuations des cours et à préserver la stabilité des marchés énergétiques.
À l’échelle du cartel pétrolier élargi, l’activité extractive a globalement augmenté, avec des performances variables selon les pays membres. Certains États ont significativement accru leur production, tandis que d’autres ont enregistré des reculs, illustrant la complexité de la coordination internationale en matière énergétique.
La position algérienne dans ce paysage énergétique en évolution démontre la capacité du pays à concilier ses objectifs nationaux avec ses obligations internationales. La discipline observée dans l’application des quotas convenus souligne le rôle stabilisateur que joue cette nation dans l’équilibre pétrolier mondial.
Les perspectives à court terme laissent entrevoir un dépassement des niveaux records précédents, avec des prévisions dépassant le seuil des 963 000 barils dès la fin octobre. Cette progression mesurée mais constante témoigne de la résilience du secteur énergétique algérien face aux défis globaux.